Biotechnologies : défis scientifiques mais aussi économiques !

 

Connues depuis que l’Homme s’est sédentarisé et a commencé à moduler son environnement pour la culture et l’élevage, les biotechnologies ne datent pas d'hier.

Malgré tout, elles ont pris une ampleur nettement plus importante récemment, au rythme de découvertes aussi révolutionnaires que celle de l’ADN, du génome humain ou des cellules souches.


Aujourd’hui, devant les nombreuses applications possibles, les biotechnologies suscitent un intérêt sans précédent — et pourraient bien impulser une révolution, tout comme l’électricité et l’informatique l’ont fait par le passé.


Cette discipline transforme les pratiques et permet de développer de nouvelles connaissances applicables à la santé, l’agriculture ou encore l’industrie.


En somme, les biotechnologies détiennent un rôle décisif dans notre système économique et social, parce qu’elles participent à la croissance.

 

enzyme et biotechnologie

Les biotechnologies, qu’est-ce que c’est ?

 

L’OCDE regroupe sous la notion de biotechnologies toutes les applications scientifiques et technologiques à des organismes vivants ou à leurs composantes, dans l’optique de « modifier des matériaux, vivants ou inertes » — le tout pour produire des connaissances, biens ou services.

Leur apparition découle de tous les progrès opérés en biologie et biochimie depuis les années 1950, mais aussi — et surtout — des découvertes scientifiques que l’on a réalisées ces 20 dernières années.


Aujourd’hui, dans une société où l’on avance à grande vitesse en matière d’innovation technologique et devant l’arrivée de nouveaux enjeux comme celui de la protection de l’environnement, on mise plus que jamais sur les biotechnologies.

Elles sont sollicitées par des chercheurs, des grands organismes, des entreprises privées et même des starts-up, toujours dans l’optique d’améliorer le monde de demain.

 

Quelles sont les applications des biotechnologies ?

 

Il existe différents types de biotechnologies, qui se concentrent sur des univers spécifiques et composent avec des objectifs ciblés sur leur domaine d’expertise.

Les biotechnologies bleues

Elles concernent l’environnement marin : on y cherche des ressources pertinentes pour transformer le secteur de la cosmétologie (thalassothérapie), celui de l’agroalimentaire (conception de compléments alimentaires) et celui de l’énergie (biocarburants).

Ainsi, on mobilise désormais les algues au service de l’humain pour développer des compléments alimentaires efficaces, centrés sur des objectifs bien précis, et totalement naturels.


Dans la sphère des énergies, on étudie également des modes de production de biocarburants à partir d’algues.


Toutes ces innovations impacteront l’économie, puisqu’elles propulseront leurs initiateurs et pourront engendrer des mutations plus ou moins importantes dans notre société (usage de produits naturels au détriment des mélanges artificiels en pharmacie, sollicitation des énergies renouvelables en priorité, etc...).


Les biotechnologies vertes

Principalement concentrée sur le domaine de l’agriculture et sur l’alimentation, cette discipline cherche aussi à changer les méthodes en matière de production de matériaux, dans une optique écologique.

Grâce à une connaissance précise du génome des plantes, on peut par exemple transférer des gènes d’une espèce à l’autre, afin d’améliorer sa robustesse, de la protéger des insectes ou de la renforcer face aux herbicides.


Bien qu’ils soient controversés, les OGM sont des biotechnologies vertes, initialement fondées pour simplifier les cultures et limiter l’épandage d’insecticides.


Les biotechnologies rouges

Indissociables du secteur de la santé, elles ont le pouvoir de transformer la médecine humaine.


Grâce à une meilleure compréhension de la génétique, on parvient déjà à traiter plus facilement certaines pathologies, voire à les prévenir.

Les nouveaux traitements impulsés par les chercheurs ne manquent pas : thérapies géniques, antibiotiques plus ciblés, etc.


En parallèle, l’ADN permettra de mieux diagnostiquer les maladies, pour anticiper leur prise en charge et augmenter les chances de guérir.

 

Les biotechnologies blanches

Les chercheurs, dans ce domaine, s’intéressent essentiellement à l’industrie : le potentiel de cette branche sur l’économie suscite beaucoup d’engouement.


À titre d’exemple, le développement de substances biochimiques ou de biomatériaux à partir de sources renouvelables fait intégralement partie des biotechnologies blanches.

Cette pratique n’est pas si récente qu’elle le laisse paraître : les enzymes des excréments d’animaux servaient déjà, à l’époque de l’Antiquité, pour tanner les peaux.


Aujourd’hui, on sollicite encore ces protéines pour créer des produits d’entretien enzymatiques, à l’image de ceux d’ENZYNOV.

 

Enzynov : innovation en biotechnologie spécialisée CleanTech

Enzynov c’est 36 mois de recherche aux côtés des professionnels pour répondre aux attentes terrain en matière de bio-nettoyage et bio-maintenance grâce à nos 151 enzymes et aux biotechnologies.

Nos enzymes sont au cœur des biotechnologies blanches, car elles ont le pouvoir d’accélérer les réactions chimiques sans nécessiter d’énergie particulière.

En ce sens, nos produits d’entretien enzymatiques satisfont les professionnels pour leur efficacité nettement supérieure aux alternatives chimiques, le tout sans qu’ils ne doivent utiliser beaucoup d’eau ou fournir des efforts physiques importants.

Au même titre que la majorité des évolutions en biotechnologies, les produits d’entretien enzymatiques peuvent bousculer — et faire grandir — notre économie.

En effet, ils s’appliquent à différents secteurs professionnels majeurs comme l’Industrie, l’Agroalimentaire, le BTP, les transports, la restauration ou encore les mécaniciens et réparateurs automobiles…

Ils permettent de gagner du temps et de l’énergie au moment du nettoyage, pour mieux se concentrer sur son cœur de métier.


Ils ne représentent aucun danger pour l’Homme, ce qui réduit tous les risques d’accidents du travail liés à une exposition chimique.


Enfin, ils ne menacent pas la planète : même déversés dans les réseaux traditionnels, ils ne perturbent pas les stations d’épuration (contrairement aux détergents et solvants chimiques).

Alors qu’attendez-vous pour changer vos habitudes.

Et passer aux biotechnologies blanches.

 

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